Frédéric Bastiat
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16 février 1848.
Je suis bien reconnaissant de toutes les bontés dont vous m’accablez. J’ai reçu vos excellents sirops qui achèveront ma guérison. J’espère aussi aller ce soir au concert, mais un peu tard, car je dîne chez M. de Lamartine, et vous comprenez qu’il en coûte de quitter la musique de sa parole même pour celle de Chopin. Cependant, comme le concert commence tard, je m’arracherai au charme de la conversation de notre grand poëte.
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