| 12 septembre 1819 | Où Bastiat se demande comment concilier son goût pour la philosophie avec la carrière de négociant qu’il embrasse par devoir. |
| 5 mars 1820 | Où il est fait éloge de Jean-Baptiste Say. |
| 18 mars 1820 | Où Bastiat s’abîme la santé à force d’étudier. |
| 10 septembre 1820 | Où Bastiat, en pleine incertitude religieuse, soupire après la foi. |
| Octobre 1820 | Où il est encore question de religion. |
| 29 avril 1821 | Où Bastiat se décide finalement en faveur de la religion. |
| 10 septembre 1821 | Où Bastiat abandonne ses livres pour essayer d’avoir une vie sociale. |
| 8 décembre 1821 | Où l’on parle du passé, de l’avenir, d’amitié, de carrières professionnelles, et du fort sot préjugé qui fait mépriser les richesses. |
| 20 octobre 1822 | Où Bastiat fait le tableau de son avenir tel qu’il le rêve, et qui a le mérite de n’être point romanesque. |
| Décembre 1822 | Où l’on discute de pièces de théâtre. |
| 12 mars 1829 | Où l’on apprend la parution prochaine d’un mystérieux écrit de Bastiat sur le régime prohibitif, — écrit qui ne fut jamais imprimé. |
| Juillet 1829 | Où Bastiat juge qu’il est puéril d’attendre du dévouement de la part des députés, et que les bonnes réformes arriveront d’elles-mêmes quand les contribuables se feront représenter par des hommes ayant les mêmes intérêts qu’eux. |
| 22 avril 1831 | Où il est question des élections qui approchent. |
| 4 mars 1846 | Où Bastiat, récemment élu membre correspondant de l’Institut pour son ouvrage Cobden et la Ligue, revient sur les circonstances qui l’ont conduit à s’occuper d’économie politique et regrette de devoir consacrer toute son attention à ce sujet. |